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Cultivons la curiosité

Dead or alive 2

Développé par Tecmo, sorti en 1999 en arcade et 2000 sur console. Voilà le jeu qui m'a fait acheter une Dreamcast. Oui, là c'est la version PS2, me gonflez pas, sinon je ne finirai pas cet article.

Donc, je disais, voilà la killer app de la Dreamcast, ZE jeu qui m'a donner envie de plonger dans l'ère 128 bits, pire, le jeu qui m'a fait acheter une console SEGA, qui se voudra être la dernière du constructeur mais bon, de là à me sentir comme le chat noir... non.

En gros, je ne suis pas très fan des jeux de baston, mais là, les décors hyper lisses, une 3D magnifique, des arènes sur plusieurs niveau. Le jour où j'ai acheté la Dreamcast, le revendeur n'avais pas ce jeu, du coup je me suis rabattu sur Soul Calibur, très bon jeu hein, mais voilà, on peut subir un ring out bien casse-noix, je n'aime pas les Soul Calibur à cause de cette spécificité.

Un décor d'église magnifique.

Un décor d'église magnifique.

Oui, j'avoue, je confesse, j'ai été attiré par ce jeu parce que je suis un gros obsédé de merde et que les héroïnes sont bien modélisées. Putain la honte quand même. Mais bizarrement, j'ai trouvé un jeu de baston marrant, facile à prendre en main, avec son système de contre, que les pros du jeu de combat juge trop facile. Justement, cette accessibilité rend le jeu sympa, et bien qu'un pro puisse s'en sortir, je dirai qu'un novice peu s'amuser aussi. Sur PS2 c'est comme sur Dreamcast. Les suites (DOA 3 - 4 et 5) introduiront de nouveaux persos, le 3 n'étant pas paumant, mais le 4 changeant les timing, j'ai lâché l'affaire. Tout juste le DOA 5 en free to play (perdu le nom, Core je crois) me fait reprendre la saga, mais Tekken Revolution lui est supérieur je trouve.

Ça caille.

Ça caille.

Donc, euh, bien que je ne vous cause pas beaucoup du jeu, il faut que vous sachiez que ce jeu m'a marqué au même titre que Street fighter II sur SuperNintendo. J'ai n'ai pas beaucoup de jeu de baston, mais les différents mode de jeu, Story, Versus, Tag Battle, Survival, Training, sont nombreux, sympa, le jeu à 2 joueurs reste ce qu'il y a de plus intéressant, et comme même un novice peut s'amuser, ce jeu assure de bonne soirée sympa.

C'est con, mais mon personnage préféré reste Kasumi, oui, je vous vois venir, maintenant que je vous ai avoué que j'étais un pervers vous allez penser que c'est pour sa plastique. Bah non, c'est juste que c'est un personnage dont je connais quelques coup sympa, et je m'amuse comme un fou avec. Un personnage léger et aérien, à l'inverse des catcheurs Tina et Lance, euh, Bass pardon. Niveau perso masculin, seul Zack attire l'attention, par son look atypique, sa façon de se battre très marrante, j'aime bien. Sinon Jann Lee reste le personnage que je déteste affronter. Avec ses cris de merde, ses enchaînements bien casse bonbons, aaaaaaaaah, je crise.

Tag battle.

Tag battle.

Euh, donc un jeu de baston qui est sympa, accessible, mais n'est pas le meilleur jeu auquel j'ai joué. Oui, plus tard, sur Dreamcast, sortira LE JEU qui changera ma vision sur les jeux de baston, Project justice, Rival Schools 2, malheureusement ce jeu n'est jamais sorti sur une autre plateforme, du coup je vous ferai le test de la version japonaise du premier Rival Schools.

N'aimant pas spécialement les jeux de combat, ce jeu m'a d'une part donné envie de m'offrir une Dreamcast, et d'autre part, attisé mon intérêt pour ce genre et donc découvrir plus tard Project justice. J'estime que même aujourd'hui il est jouable et fun tout de suite. Et alors que dans un Street fighter si vous affrontez un adversaire plus fort que vous, c'est la branlée assurée, DOA 2 vous donne une (petite) chance de vous en sortir avec vos modestes moyens, et ça c'est fort. Un indispensable de la génération 128 bits.

@

Le duo improbable.

Le duo improbable.

Des styles différents.

Des styles différents.

Ayane.

Ayane.

Il pleut.

Il pleut.

Finit.

Finit.

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