Cultivons la curiosité
La bataille entamée voilà plusieurs tomes (depuis le 9 en fait, mais passons), fait rage. Nous avions laissé tous les membres des forces de défenses anti-Kaiju en bien mauvaise posture. Le Kaiju n° 9, maître d'orchestre de cette attaque massive, a bien prévu son coup. Nous apprendrons d'ailleurs dans le tome du jour, qu'il est en quelque sorte le "papa" des Kaiju numérotés apparus à la fin du tome 10. D'ailleurs, il me fait penser à Hohenheim de "FullMetal Alchemist", mais peut-être est-ce moi qui débloque...
La version du tome 11 que nous avons pu avoir, était magnifique. J'en parle peu, mais c'est édité chez Crunchyroll, qui a repris Kaze. Et qui fait que mes tomes sont à la fois de Kaze et de Crunchyroll. Passons. Car notre version est proposée dans un beau coffret, avec le tome 11 et sa couverture alternative, une plaque en métal sublime, et le roman "Immersion dans la 3è unité", écrit par ANDÔ Keiji, et scénarisé (ou juste conseillé) avec la mangaka MATSUMOTO Noaya. J'avoue que j'aimerais trouver le temps de le lire, mais quand ?
Donc, nous revenons sur nos 5 gros combats à venir. Les Kaiju n° 11 à 15 apparaissant sous le contrôle du n° 9. Ces monstres semblent conçus pour lutter spécifiquement contre les 5 talents des forces de défense tokyoïtes. Dans ce tome, nous verrons donc que Shinonome, subalterne de Tachibana, être prête à se sacrifier afin de sauver son chef. L'occasion de voir un peu son passé, son abnégation. Puis ce sera au tour de Kikoru, qui était mal barrée contre son double sombre, le Kaiju n° 15. Entretemps, nous avons eu une intervention qui va changer la donne. La classe de ce personnage, qui arrête le Kaiju n° 13 d'une main. Enfin bon, le combat sera pour plus tard. Mais l'émotion, la puissance, aaaaah, c'est magnifique punaise. À en avoir les larmes aux yeux.
Si nous avions vu le rapport complexe que Kikoru avait son père, Narumi a exactement le même soucis, aussi avec le père de notre héroïne. L'occasion pour lui de livrer une bataille épique contre le Kaiju n° 11. En fin de tome, nous verrons Hoshina, faire plus que jamais équipe avec son armure composée du Kaiju n° 10, afin de survivre, voire pourquoi pas, reprendre le dessus sur son adversaire, dont j'ai perdu le numéro. Nous verrons donc la suite des combats contre les Kaiju n° 12 à 14 plus tard.
En attendant, quelle intensité, quelle beauté, quelle clarté. Argh, j'aime énormément. On ressent la puissance des armures, le dépassement de soi dont sont contraints les protagonistes. Oui, on devine qu'il faudra bien que la balance bascule du côté des forces de défenses, contrairement à ce que laissait penser la fin du tome 10. Mais malgré ce tournant prévisible, on est happé par l'histoire et surtout ces bastons mémorables. Oui, la lutte est longue, elle s'étend sur plusieurs tomes, oui je n'aime pas trop ça. Mais là, il faut reconnaître que l'on change de personnage, ce qui donne l'impression de ne pas être sur la même combat.
La diversité est excellente, et on regrettera juste cette aspect citation des techniques, façon "Naruto" (mais ici avec des chiffres) ou "JoJo's Bizarre Adventure" (sans l'aspect second degré comique). Une fois de plus un excellent tome, d'une série que je ne peux que recommander. J'adore, et promis, je vais tâcher de ne pas attendre longtemps avant de faire le tome 12.
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