Beck tomes 6 à 10

SAUKUISHI Harold toujours au commande de ce manga, nous suivons toujours Yukio (a.k.a. Koyuki) et son groupe "Beck", dans leurs répet', leurs galères et autre joyeusetés qu'offre le milieu indépendant de la musique Jap.

Ce résumé est franchement réducteur, mais je n'ai pas d'idée cool pour mon intro. Désolé.

Dans cette série de tomes, Yukio se révèle être une star de son lycée suite à sa perf' aussi bien en natation qu'au concert. Avec une très belle remarque de Ryusuke "c'est la dernière foisn qu'il chante dans un gymnase pourri", pas du mot à mot, mais l'idée est là.

Ces tomes marquent la fin des années collèges pour Saku et Yukio, le début de leurs années collège. Et bien, je suis en train de louper ma chronique en sortant autant de trucs bateau. Après les malentendus dissipés aussi bien avec Ryusuke qu'avec Maho, Koyuki s'investit à fond dans le groupe, euh tous les membres du groupe d'ailleurs, chacun bossant autant que possible pour réunir l'argent afin de payer le studio de répèt, et faire un disque. Disque qui va d'ailleurs s'exporter aux U.S.A., avec une erreur monumentale sur la pochette, la fameuse guitare Lucille ayant été volée par Ryusuke dans sa jeunesse, l'ex proprio, un gros producteur pas commode, va faire son maximum pour la récupérer.

Sinon, musicalement, Beck suit son bonhomme de chemin, de live house en live house, le groupe continue de gagner en réputation, mais toujours dans un niveau local, certes l'apparition de Koyuki dans le film documentaire sur les DyeBre de Jim Walsh va permettre au groupe de se faire un "autre" nom aux States (Mongolian Chop Squad), mais c'est toujours la galère. Poiur ne rien arranger, Eiji, ex co-leader de l'ancien groupe de Ryusuke, progresse à une vitesse folle, grâce au fait qu'il n'hésite pas à faire dans la pop, en recrutant notamment Yoshito, petit gosse riche ultra populaire, le comparatif avec Koyuki est flagrant, le jeune talentueux timide qui galère, face à l'ultra beau gosse a qui tout souris. Ils se livreront une "bataille" pour séduire Maho, pas indispensable, mais qui passe bien dans le manga.

Cette série de tome s'achève avec la participation (SPOIL), au Greatful sound, avec une manager totalement délurée, recherchant de façon désespéré à redonner ses lettres rock au festival créé par feu sa sœur. Avec une remise en doute du groupe car Leon Sykes (le producteur méchant pas gentil qui veut Lucille) fait une sorte de pari avec Ryusuke, mais je vous laisse découvrir le reste quand même.

L'état d'esprit festival est bien retranscrit, et l'auteur reste sur cette humour très présent, avec des personnages toujours aussi attachant, voir même plus, Beck rentre dès lors dans les mangas à lire absolument, de plus les personnages vieillissent, et évoluent au fil des tomes.

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