Bomberman Live

Woooh.

Pour cette dernière chronique jeu vidéo de 2017, je fais ma feignasse, on va voir un jeu que tout le monde connait, ici dans sa version XBLA, je cause de Bomberman. J'ai des souvenirs émus de ce jeu, euh, non, de Super Bomberman sur Super Nintendo, avec son jeu à 4 en simultané, c'était fou. Le principe du jeu est con, on dirige un.e mec.meuf qui chie des bombes, ah non, ne chie pas mais pose des bombes, c'est pareil pour moi, le but du jeu est de briser les parties friables de l'arène, et d'anéantir les adversaires, si possible humain, c'est plus rigolo. On y trouve divers bonus, comme pourvoir chier, euh poser, plus de bombes, augmenter la puissance, voire la vitesse du personnage. Ici on tombe sur une sorte de version ultime de ce jeu, car jouable sur internet, donc pas besoin de faire une crêpe party pour inviter ses ami.e.s, nope, on trouve des adversaires directement sur le net, c'est beau le progrès. Ce jeu n'est pas développé par Hudson Soft, juste édité, car c'est Blackbone Entertainment qui s'en charge. C'est sorti il y a longtemps sur XBLA, 2007, et il fait parti des premiers jeu que j'ai téléchargé. Il faut être abonné Gold pour pouvoir pleinement en jouir, et ça vaut, bah je ne sais plus, une dizaine d'euros je pense. On regarde un trailer rapidement, car je n'ai pas grand chose à dire sur ce jeu.

Vidéo de xblahvideos.

Si le principe est bien connu, du moins si vous êtes joueurs.ses depuis longtemps, Bomberman reste un classique du jeu multiplayer, ici pas besoin de sortir les multitaps, l'option Live du titre est bien pratique, mais je trouve que c'est toujours plus drôle de jouer contre des personnes que l'on peut toucher et donc déstabiliser, oui, je suis très tactile j'avoue, mais même pour un Mario Kart, je n'aime pas y jouer sur le net, car on perd le vrai côté fun et mauvaise fois du genre multijoueur, puis on perd la triche, qui reste le piment de soirée réussie pour ma part. Je suis vieux jeu ou old school, mais c'est plus sympa comme ça.

Mais passons, ici le jeu est blindé de mode de jeu, sauf qu'il n'y a pas vraiment de solo, tant mieux, essayer de scénariser Bomberman est tellement ridicule que je m'en passe. Tout juste on s'entrainera contre l'ordinateur, car avant l'ère des FIFA et autres Call Of (ou Battlefield) online, on jouait à ce genre de jeu, et ce qu'il y a de bien avec ça, c'est qu'il est inutile d'être un.e pro du joystick pour s'amuser. Un Mario Kart est délicat. Mais ici on se dirige en haut, en bas, droite, gauche, on chope les items ultra lisibles (les flammes pour la puissance etc...), et on utilise un bouton pour chier sa bombe, voilà, rien de plus simple, même mamie peut jouer. Surtout qu'il s'agit plus d'avoir le sens de l'observation que d'avoir une grosse technique. C'est pourquoi, à l'instar d'un Worms, Bomberman traverse les âges vidéoludiques sans sourciller. C'est beau ce que je dis, ou débile, au choix.

Ici, on pourra énormément personnaliser son personnage, vous kiffez Luffy, vous pouvez faire de votre Bomber.wo.man un.e pirate par exemple. Le tout pour toujours plus de fun, même si je trouve cette idée de personnalisation assez gadget, après tout pourquoi pas.

Les menus et options.

Mais le truc vraiment cool, c'est la personnalisation de la partie, configurable à fond, le temps, les manches, les arènes, là c'est intéressant pour casser la routine. Sinon, niveau jouabilité, ça va, ça se contrôle bien, et pour l'avoir essayer online, pas de lag, bon, c'était il y a quelques années, mais ça le fait. Les graphismes sont dépassés, mais on s'en contrefout, après tout un jeu n'a pas besoin d'exploser la rétine pour être marrant à jouer.

Je le savais que je me retrouverai comme un con à ne pas savoir quoi ajouter, mais je ne m'y attendais pas si tôt. Ah si, au niveau du jeu, si des fois vous ne connaissez pas bien, au bout d'un moment l'arène se réduit, et ça devient plus délicat. Voilà. Purée. En fait on va passer à la conclusion donc.

En jeu donc.

Oui, ça va vite, mais en même temps, qu'ajouter sur un principe de jeu connu de la plupart des joueurs.ses, on n'y passera pas des journées dessus, c'est sûr, et le côté "live" empêche les contacts physiques avec ses adversaires, mais affronter l'IA est parfois frustrant, quoi de plus sympa que d'exploser un ennemi alors qu'il ne s'y attend pas. Cette version XBox 360 est efficace, assez complète, même si des gens regretterons l'absence d'un mode solo (qui ne me manque pas du tout), ça reste un classique du jeu vidéo, ici plutôt joli, fluide, et conservant tout le fun de ses aînés, pas un indispensable, mais un jeu sympa à plusieurs, moins chiant que les party game je trouve. J'aime bien mais à petite dose.

@+

Fin de jeu.